Etude de médecine à l'image de notre société

Publié le par alternativesenmedecinegenerale

Espérer.

Espérer.

Les études ne sont pas faciles. Les violences sexuelles sont peut être encore plus déconcertantes que les étudiant/es viennent avec des espoirs de prendre soin des autres. 😏

Bravo à cette jeune médecin pour son initiative de libérer la parole dans le souhait de former aux violences pour les dénoncer et qu'elles stoppent. 

Pour lutter contre ces violences et le harcèlement, l'interne en anesthésie-réanimation appelle à une meilleure formation à la "non-violence" des acteurs du monde médical : "Il faut pouvoir former les gens qui ont oublié ce qu'est la violence et ce qui n'en est pas." "On a aussi une justice administrative à l'hôpital, qui n'est pas dépendante du pénal", rappelle Audrey Bramly. "Il n'y a pas besoin d'une plainte pénale, une plainte à l'hôpital peut être suffisante" pour qu'un agresseur présumé soit, par exemple, suspendu à titre conservatoire, le temps d'une enquête. Car porter plainte n'est pas anodin, insiste l'interne : "Il faut prendre en compte la balance bénéfice-risque, parce qu'il y a beaucoup de risques à porter plainte. Il y a un risque psychologique, le fait que ça va durer plus longtemps, que l'équipe [médicale] peut potentiellement en vouloir [à la personne qui porte plainte], il y aussi un risque financier, la possibilité d'un classement sans suite, et évidemment un risque pour sa carrière…"

extrait Article de ME SUBILEAU Chloé sur EGORA

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